Très soucieux de l’écologie et de tout ce qui entoure l’environnement, nous souhaitons mettre en avant les bienfaits qu’apportent certains projets à la planète.
C’est d’ailleurs le cas de Boyan Slat, ce jeune néerlandais fondateur de l’ONG « The Ocean Cleanup »; il a mis en place un système de ceinture flottante extractrice de plastique. Grâce à cette ceinture possédant un bras long de 600 mètres en forme de « C », il est possible de récupérer les déchets plastiques entassés dans certaines zones marines.
Une idée novatrice et une levée de fonds réussie
Dès la présentation de son projet en mai 2018, de nombreuses personnes ont été séduites par ce projet innovant et bienveillant pour la planète et l’écologie. À tel point qu’un million de personnes devenues donatrices ont permis de financer ce coûteux projet. De plus, le jury du prix danois Index (une référence mondiale) a également décidé de soutenir le projet en accordant 100.000 euros à « The Ocean Cleanup ». Après cette donation, les membres du jury avaient d’ailleurs loué l’idée de l’ONG en déclarant : « Cette idée est incroyablement ingénieuse, elle va améliorer à grande échelle l’état de la plus précieuse ressource naturelle de notre Terre, et au passage, le quotidien de plusieurs millions de personnes ».
L’ONG attise tellement les convoitises que désormais, celle-ci a levé près de 30 millions d’euros de la part de donateurs en ligne ainsi que d’autres dons offerts par plusieurs milliardaires de la Silicon Valley. Une véritable réussite pour un projet qui a décidé de se concentrer dans un premier temps sur les déchets présents dans l’Océan Pacifique.
Une efficacité en progrès
Alors que les premiers tests ne s’étaient pas avérés totalement concluants, l’extracteur poursuit son développement et de nombreux résultats positifs ont depuis été enregistrés. En effet, ce système de nettoyage des océans parvient enfin à collecter des déchets plastiques de toutes les tailles, allant des filets fantômes d’une tonne aux microplastiques minuscules.
Désormais, en se dirigeant vers l’Océan Pacifique (où 80 millions de kilos de déchets sont rassemblés), le fondateur de l’ONG souhaite surtout se concentrer sur des zones dans lesquelles les déchets sont prédominants. D’après Greenpeace, 8 à 12 millions de tonnes de plastique terminent dans nos océans chaque année. Des chiffres déroutants.
À notre manière, nous essayons également d’apporter notre contribution à l’écologie en vendant des tampons lavables et réutilisables. Nous sommes convaincus que si chaque personne y met un peu du sien et apporte à sa manière un bienfait pour l’environnement, nous vivrons toutes et tous dans une atmosphère plus propre et agréable.
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